Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas passé de temps seules ensemble avec Sophie. Pour la première fois depuis longtemps nous nous sommes retrouvées pour passer ce mois de rêve. Pour moi se fut une trêve, une véritable parenthèse enchantée dans ce voyage, qui, malgré toutes les merveilles qu’il me fait vivre, reste parfois difficile. Il y a des moments où je rêve d’avoir à côté de moi quelqu’un que je connais et que j’aime pour pouvoir partager tout ce que j’expérimente. Il y a des moments où tout simplement j’ai envie de parler à quelqu’un qui m’ est proche. Pendant un mois j’ai pu tout faire et tout partager avec une des personnes que j’aime le plus au monde, et j’ai réalisé que bien des choses ont plus de saveur lorsqu’elle sont vécues à deux, et en particulier, bien des choses pour moi ont plus de saveur quand je les vis avec Sophie. J’ai hâte que nous reprenions la route et les voyages !
A deux, nous avons visité un Brésil joyeux, accueillant, chaleureux, époustouflant de beauté, de couleurs, de reliefs, d’enthousiasme, de danse, de musique, d’humanité. Il est quand même à souligner que ce qu’il ya de mieux au Brésil, comme en Argentine, ce sont les transports en bus, les heures interminables passées à la gare routière, ou vautrées dans nos sièges. Dans les pays grands comme l’Argentine ou le Brésil, les distances sont énormes, et le temps passé à voyager, à proprement parler, est assez conséquent. Dans les gares autoroutières, on est avec la population locale, parmi les brésiliens, on passe 7, 12 ou 30 heures à voyager tous ensemble dans le même bus. C’est une sensation très agréable. Il y a plein de gens qui sont amoureux des gares, des aéroports, des lieux de transits, et qui peuvent passer des heures à regarder les autres arriver et partir. Et j’avoue que personnellement, le petit speech de Hugh Grant au début de Love Actually sur fond d’images d’aéroport m’était allé droit au cœur. Dans ce voyage, je n’ai rien tant adoré que les moments où l’on zonait toutes deux dans la gare routière et ceux où on faisait les idiotes à glousser comme des dindes sur nos sièges dans le bus. Je remercie Sophie d’être venue me voir, et aussi, je remercie mes parents et mon parrain qui ont largement contribué aux frais et qui ont permis que nous puissions toutes deux vivre ces moments inoubliables !! Et surtout, surtout, je remercie la vie en général, c’est cucul, c’est cliché, mais il y a des moments où rien ne traduit mieux votre pensée que le plus vulgaire des lieux communs, donc, merci à la vie !
A deux, nous avons visité un Brésil joyeux, accueillant, chaleureux, époustouflant de beauté, de couleurs, de reliefs, d’enthousiasme, de danse, de musique, d’humanité. Il est quand même à souligner que ce qu’il ya de mieux au Brésil, comme en Argentine, ce sont les transports en bus, les heures interminables passées à la gare routière, ou vautrées dans nos sièges. Dans les pays grands comme l’Argentine ou le Brésil, les distances sont énormes, et le temps passé à voyager, à proprement parler, est assez conséquent. Dans les gares autoroutières, on est avec la population locale, parmi les brésiliens, on passe 7, 12 ou 30 heures à voyager tous ensemble dans le même bus. C’est une sensation très agréable. Il y a plein de gens qui sont amoureux des gares, des aéroports, des lieux de transits, et qui peuvent passer des heures à regarder les autres arriver et partir. Et j’avoue que personnellement, le petit speech de Hugh Grant au début de Love Actually sur fond d’images d’aéroport m’était allé droit au cœur. Dans ce voyage, je n’ai rien tant adoré que les moments où l’on zonait toutes deux dans la gare routière et ceux où on faisait les idiotes à glousser comme des dindes sur nos sièges dans le bus. Je remercie Sophie d’être venue me voir, et aussi, je remercie mes parents et mon parrain qui ont largement contribué aux frais et qui ont permis que nous puissions toutes deux vivre ces moments inoubliables !! Et surtout, surtout, je remercie la vie en général, c’est cucul, c’est cliché, mais il y a des moments où rien ne traduit mieux votre pensée que le plus vulgaire des lieux communs, donc, merci à la vie !